Notre organisation syndicale milite en faveur d’une sécurité routière qui soit plus en accord avec la réalité vécue par les citoyens lorsqu’ils empruntent le réseau routier. Fort de notre expérience de la route, le SECOP-ITSRE asbl apporte ses solutions afin que les décideurs puissent prendre les bonnes décisions.
Prenons par exemple un cas parmi tant d’autres, les entrées et sorties d’autoroutes. Elles sont excessivement dangereuses et encore plus lorsque l’on conduit un camion. De plus, la pollution non négligeable, qui est générée par les véhicules qui freinent et puis qui doivent accélérer, devrait également attirer l’attention de nos responsables politiques, à moins que la sécurité routière et que l’aspect environnemental ne fassent pas parties de leurs véritables préoccupations !
Les radars qui permettent de contrôler le respect de l’interdiction de circuler dans certaines rues pour des camions est un véritable scandale et une arnaque de plus vis-à-vis des chauffeurs routiers.
Cette loi a été votée le 31 mai 2022 et avait été proposée à la commission Mobilité de la Chambre par un socialiste flamand du nom de Joris VANDENBROUCKE (Vooruit). Comme de quoi, socialisme ne rime pas toujours avec le « social » !
Les zones d’interdiction de circuler pour les véhicules de 3,5 tonnes et plus se multiplient depuis quelques années déjà. Cette mesure étant très difficilement contrôlable et contrôlée par la police, il a donc été décidé par nos parlementaires de contrôler l’entrée et la sortie de ces zones d’exclusion pour les camions par des radars automatiques.
L’un de nos adhérents nous raconte l’histoire incroyable qu’il a vécu en Allemagne. Le SECOP-ITSRE n’est pas resté insensible à ce que l’on pourrait appeler une véritable arnaque ou un véritable piège !
N’ayons pas peur de le dire et ceci même s’il s’agit des autorités allemandes. La pratique ressemble plus à du racket légalisé plutôt qu’à une véritable action de contrôle.
Le 11 janvier 2023, l’un de nos adhérents circulait dans un véhicule de type semi-remorque lorsqu’il a été confronté à une inscription en allemand sur un panneau routier à affichage variable comme il en existe aussi en Belgique. Ce panneau était situé à au moins un kilomètre d’un parking. Ne parlant pas l’allemand et fatalement ne pouvant donc le lire, il n’a rien compris à ce qui était finalement demandé aux chauffeurs routiers, c’est-à-dire d’emprunter le parking obligatoirement mais ça, il le saura quelques instants plus tard.
A partir du 1er janvier prochain, le salaire de milliers de travailleurs belges sera indexé et qui dit « index » dit également une éventuelle augmentation de l’imposition. Vous avez été nombreux à nous poser des questions sur l’aspect fiscal de votre salaire et vous avez été plus d’un à croire que l’ensemble du salaire était concerné par cette augmentation.
Mais finalement, quelle est la partie du salaire qui est concerné ?
Le SECOP-ITSRE asbl vous propose ces quelques informations.
Il existe en réalité quatre plafonds d’imposition en Belgique. Vous pouvez les découvrir sur le tableau au bas de cet article. L’impôt des personnes physiques connaît des taux d’imposition progressifs.
L’entrée de la FN, qui est située dans la rue Voie de Liège et qui permet aux chauffeurs de camion de livrer de la marchandise à la Fabrique Nationale, est placée dans une rue assez étroite et difficilement accessible aux camions. Malgré l’interdiction de stationner qui est visible sur la signalisation routière, beaucoup trop automobilistes n’hésitent pas à stationner leur véhicule en face de la barrière de l’entrée de l’entreprise. Le résultat ? Plusieurs dizaines de minutes perdues pour des gens qui ne respectent visiblement pas le Code de la Route.
Le SECOP-ITSRE asbl a demandé à l’Échevin des Travaux de la Ville de Herstal, Monsieur Christian LAVERDEUR pour qu’un striage soit placé au sol en face de cette barrière mais visiblement, l’échevin est trop occupé que pour répondre au mail de notre organisation syndicale.
Voici plusieurs années que les syndicats historiques ainsi que les fédérations patronales planchent sur cette nouvelle classification de fonction dans le secteur du transport routier de marchandises. C’est finalement ce jeudi 17 novembre 2022 que les représentants des travailleurs et ceux des employeurs se sont mis d’accord sur cette nouvelle classification de fonctions.
Toutes les entreprises de transport doivent, avant le 1er janvier 2023, attribuer à l’ensemble de son personnel ouvrier l’une des quatre classes définies dans ces accords. La classe attribuée aux travailleurs déterminera le salaire horaire de base.