Homme de terrain, notre président Alain DURANT le constate encore assez souvent. Beaucoup de chauffeurs routiers montent dans leur camion sans même avoir fait le tour de leur camion. Or, vérifier si la sécurité de la sellette (semi-remorque) est correctement positionnée, vérifier l’état de l’éclairage du véhicule ainsi que les clignotants ou encore passer un coup de chiffon sur les rétroviseurs ainsi que sur les feux lumineux du véhicule, font parties des choses qu’un chauffeur devrait faire. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas !
Cet article à la vocation de vous faire prendre conscience d’un élément qui touche à la sécurité routière et à votre propre sécurité également…
Depuis le 2 février 2022, un conducteur routier doit obligatoirement renseigner tout franchissement de frontière dans le tachygraphe du camion ou de l’autocar. Afin d’éviter de vous mettre en danger ou de mettre d’autres utilisateurs du réseau routier en danger, il est conseiller de faire cette opération lorsque le véhicule est immobilisé. Prenez donc l’habitude d’effectuer cette manipulation sur le parking à la frontière. La législation indique que vous devez effectuer cette opération au premier point d’arrêt possible après la frontière.
Nouveau tachygraphe : Vous pourrez constater que l’appareil se positionne automatiquement sur la lettre du pays dans lequel vous vous trouvez. Vous devez malgré tout effectuer l’opération d’enregistrement manuellement et à l’arrêt.
En Belgique, les chauffeurs routiers sont révoltés face à des mesures anti-COVID hallucinantes. Et il y a de quoi se poser de sérieuses questions face à ce nouveau fait vécu par les chauffeurs routiers !
Une fois de plus au niveau de notre syndicat, on se pose une question fondamentale « prend-t-on les chauffeurs vraiment pour des cons ? ». Beaucoup pensent qu’il faudrait arrêter la bêtise humaine…
Max Meynier n’est pas inconnu aux yeux de bien des chauffeurs et plus particulièrement, des plus vieux d’entre nous. Dans bien des cas, c’est lui et les aventures racontées en direct par des chauffeurs qui ont fait qu’un jour, des jeunes hommes ont pris la route pour en faire leur métier… Ah quelle époque !
Dans cet article, nous ferons la parallèle entre cette époque, ou plutôt entre cette « grande » époque, et celle que nous vivons actuellement…
L’exemple français n’a visiblement pas traversé la frontière franco-belge…
Le permis à points, que veulent instaurer nos nouveaux responsables politiques belges, est une mesure discriminatoire vis-à-vis des travailleurs qui utilisent un véhicule pour leur emploi. L’Interface pour le Transport et la Sécurité Routière en Europe tire la sonnette d’alarme !
Au niveau du Code de la Route, le retrait de points sera légalement rendu possible alors que dans certaines situations les travailleurs ne pourront pas faire autrement que d’enfreindre le Code de la Route.
Après cette longue période atypique quant à nos déplacements, et le développement de la mobilité douce, la rentrée de septembre peut s’avérer périlleuse sur les routes. L’Agence wallonne pour la Sécurité routière (AWSR) invite les usagers de la route à être attentifs les uns aux autres, pour un meilleur partage la route, et une sécurité renforcée.
Le 1er septembre sonne traditionnellement l’heure de la rentrée. Or cette année, avec les aléas du COVID19, c’est particulier : de nombreux cyclistes et piétons se sont déployés avec bonheur ces derniers mois et se déplacent au cœur d’une circulation relativement « allégée ». La donne va changer en septembre en termes de densité de trafic, et pourrait surprendre plus d’un usager de la route, qu’il soit piéton, automobiliste, cycliste, motard etc., avec le risque d’accident qui va de pair.
Une sensibilisation à la sécurité routière des différents usagers s’impose donc.
En effet, à titre illustratif, déjà l’an dernier (2019), entre juillet/août et septembre, on a pu constater les évolutions suivantes :
- Une hausse de 7% de la moyenne journalière du nombre d’accidents corporels.[1]