Depuis le 1er Juillet 2019, des nouveaux tarifs pour le péage des poids lourds sont rentré en application. Cela concerne tous les utilisateurs qui circulent sur le réseau routier flamand et bruxellois.
Les gouvernements régionaux de Flandre et de Bruxelles vont introduire des nouveaux tarifs pour la taxe kilométrique à partir du 1er juillet 2019.
En moyenne et selon l’Euroclass du véhicule, une augmentation de 1,9% à 2,9% sera appliquée en Flandre et de 2% à 2,9% pour la région de Bruxelles.
Comme défini dans la législation sur l’introduction de la taxe kilométrique, cela constitue un ajustement des tarifs sur l’index des prix clients.
(Lien pour déclarer un véhicule au bas de cet article) Une augmentation tarifaire de l’Eurovignette est intervenue en date du 1er juillet 2019. L’Eurovignette reste obligatoire pour les véhicules de 12 tonnes et plus qui circulent sur le réseau routier hollandais, Grand-Ducal, au Danemark ainsi qu’en Suède. Le prix a ainsi été augmenté pour les véhicules de classe EURO IV ainsi que pour les autres véhicules d’une classe inférieur. Pour les véhicules EURO IV de 4 essieux et plus, l’augmentation de 154 € correspond à une majoration de 12.32 %. Pour les véhicules de classe EURO III, le montant à payer est de 1.543 €. Ceci représente une hausse de 23.44 % pour cette catégorie de véhicules.
En ce qui concerne le tarif d’une EUROVIGNETTE journalière, le prix à payer est de 12 € à la place de 8 € précédemment. Ceci représente une hausse de 50 %. Au 1er janvier 2020, ce seront les tarifs des véhicules EURO V qui seront augmentés de +ou- 6 %.
Chauffeurs distraits et chauffeurs fraudeurs, apprêtez-vous à payer jusqu’à 10.000 € en cas de contrôle et de fraude constatée…
Depuis le 6 juillet 2019 un nouveau catalogue des amendes routières est d'application en Belgique…
Jusqu’à 10.000 € à payer en fonction des cas. Le SECOP vous informe des montants à percevoir en cas d’infraction mais veut aussi et avant tout, attirer l’attention des chauffeurs et les sensibiliser sur quelques cas vécus !
Le cumul des procès-verbaux lors d’un contrôle pourra donner lieu à une perception immédiate d’un montant maximum de 10.000 € depuis ce 6 juillet.
Certains chauffeurs se diront « et alors,… on verra plus tard » mais bon, ce genre d’article vise à informer sur l’avenir du transport…
Comment faire avaler la pilule aux chauffeurs routiers et à l’industrie qu’un jour, des modes de transport, dont le camion, seront connectés et automatisés ?
Ce projet appelé Drive2theFuture, c’est un projet qui vise à améliorer l’acceptation par les chauffeurs routiers et des opérateurs d’un changement profond en matière de transport de marchandise mais pas seulement puisque nous connaissons déjà aujourd’hui, des navettes autonomes pour les voyageurs. Afin d’atteindre l’objectif, le projet tiendra compte des désirs et des besoins de l’industrie, ainsi que son acceptation des nouvelles technologies.
Quel est le chauffeur routier qui n’a pas subi le désagrément de devoir attendre un chargement ou un déchargement dans une entreprise ? Quand c’est en début de journée, rien ne va mal enfin quoique ! Mais quand c’est en fin de journée et que le chauffeur est limite avec son amplitude de travail, là ça coince…
Le SECOP-ITSRE dénonce le comportement de certaines entreprises qui, pour éviter le paiement d’un salaire ou deux, n’hésitent pas à faire attendre les chauffeurs routiers et ceci parfois plusieurs heures avant de procéder au chargement ou au déchargement des camions. En pratiquant de la sorte, l’entreprise économise le paiement d’un ou de plusieurs salaires faisant reporter l’économie sur les sociétés de transport qui elles, sont en droit à ne payer que deux heures leurs chauffeurs dans le cas d’une attente de longue durée…
Que faire lorsque le chauffeur est limite sur son amplitude de travail et que, malgré tout, il doit charger ou décharger son camion ?
Les médias relayent ce que disent les organisations patronales, mais relayent-ils vraiment les réalités des choses ?
Le SECOP-ITSRE vient de finaliser une enquête longue de plusieurs mois sur le sujet de la pénurie de chauffeurs tellement mise en avant par les employeurs et ses résultats laissent planer quelques doutes sur ce que disent ces employeurs ainsi que les représentants du secteur du transport.
Durant plusieurs mois, il a été demandé à plusieurs chauffeurs adhérents au SECOP-ITSRE de postuler dans les différentes sociétés d’intérim ou directement chez les transporteurs. Le résultat de toutes ces candidatures ? Presque rien à se mettre sous la dent si ce ne sont que quelques propositions d’emploi pour conduire un camion de nettoyage industriel, un camion d’équarrissage, un camion balai,…