Trop régulièrement, les parkings qui ne sont pas surveillés par des caméras sont trop souvent considérés comme de véritables décharges à ciel ouvert par les citoyens. Malgré tout, lorsqu’il est l’heure de faire sa pause, les routiers devront s’arrêter là où légalement ils peuvent s’arrêter. Dans ce cas, il s’agit d’un petit parking situé le long de la Meuse entre Liège et Huy.
Chaque semaine, nous pouvons constater des détritus qui débordent des poubelles qui sont prévues, en principe, pour les petits pique-niques dans ce parking et dans bien d’autres. C’est le cas des parkings autoroutiers également.
Cette crasse attire aussi des indésirables comme par exemple des rats. Quel bonheur de prendre sa pause en bord de Meuse et de pouvoir regarder les péniches qui passent sur le cour d’eau avec comme point d’attraction, les rats qui viennent se nourrir dans ces poubelles…
Le parking nouvellement rénové à la frontière franco-belge devait être une vitrine pour toutes les personnes qui entraient en Belgique par le poste frontière de Hensies entre Valencienne et Mons. Lorsque ces mêmes personnes doivent s’arrêter dans d’autres parkings, elles se rendent vit compte qu’il y a un sérieux problème de propreté et de salubrité publique…
Il y a quelques semaines à peine, le Ministre Carlo Di Antonio faisait la proposition d’augmenter la taxe kilométrique des camions qui passent sur le réseau routier bruxellois. Mais pour quelle raison exactement ? D’après lui, cette idée permettrait de détourner les camions vers d’autres itinéraires. Bonne idée diront les automobilistes qui sont continuellement et de plus en plus dans les embouteillages à Bruxelles… Mais quelle est la véritable raison de cette proposition ?
Nous pensons fortement, très fortement, que le Ministre se trompe de politique car l’image qui illustre cet article est assez parlante sur la réelle situation vécue autour et dans Bruxelles. Un ministre Wallon qui veut détourner la circulation des poids lourds vers un autre itinéraire n’est qu’un Ministre qui veut ramener la taxe kilométrique dans les caisses de la Région Wallonne et ceci au détriment des automobilistes qui empruntent la dorsale wallonne. N’ayons pas peur de le dire, l’itinéraire « Bis » du Ministre fera passer inévitablement les camions délestés de Bruxelles sur la E42 Liège – Mons.
Faire de la politique, c’est aussi améliorer le quotidien des citoyens et dans ce cadre, développer des transports publics qui favorisent la mobilité des uns et des autres.
Lorsqu’il est question de refaire un curriculum vitae, beaucoup de personne ne connaissent plus forcément les employeurs chez qui ils ont travaillés et encore moins les dates d’entrée et de sortie dans ces entreprises.
Un nouveau site internet reprend toutes vos occupations chez vos employeurs depuis le premier jour d’activité jusqu’aujourd’hui.
Pour vous connecter, rien de plus facile. Il suffit de vous rendre sur le site : www.mycareer.be/
Et de vous connecter. Nous avons testé l’application au moyen d’une carte d’identité. Pour pouvoir vous connecter, il vous faudra un lecteur de carte ainsi que le code PIN de votre carte d’identité.
L’agressivité de certains travailleurs se fait sentir et nous devrions même dire de plus en plus souvent. Que ce soit sur le lieu du travail ou en contact avec la clientèle, le travailleur de nos jours ne veut plus se laisser marcher sur les pieds par personne et ils ont entièrement raison. Nous rappellerons qu’un travailleur n’est pas un esclave et que personne n’a le droit « légal » de crier sur un travailleur qui a un lien de subordination avec son employeur.
Dans certains cas, le travailleur insulté peut avoir des comportements dangereux pour son entourage. Nous pensons à un employeur qui aurait la parole un peu trop légère vis-à-vis e l’un de ses subordonnés.
Lors de notre enquête, nous avons rencontré des travailleurs qui en sont venus aux mains avec leur employeur ou un chef un peu trop « criard ». Rien qu’en les entendant parler, nous pouvions deviner que c’était le genre de travailleur à ne pas se laisser faire même pour « garder » leur emploi.
Dernièrement, un travailleur a assassiné une permanente du syndicat chrétien à Diest, bien que nous ne savons pas pour quelle raison ce travailleur a eu ce geste grave, nous pouvons imaginer qu’il s’est passé quelque chose avec la personne ou bien avec d’autres membres du syndicat ou d’autres personnes faisant partie d’une administration comme l’ONEM, le FOREM, etc.
A ce propos, nous avons eu l’occasion de constater que des personnes faisant partie de ce genre d’organisation ne sont pas très corrects avec les personnes qui sont dans l’obligation de les rencontrer pour une inscription, pour régler un problème,… Nous y avons même constaté beaucoup d’agressivité dans les paroles de certaines personnes. C’est aussi le cas lorsque le travailleur est confronté à son employeur ou à un responsable de la société pour laquelle il travaille lorsqu’il est appelé pour s’expliquer. Généralement, ces personnes sont plutôt du genre « dictateur » et se place dans un monologue qui « écrase » le travailleur sans lui laisser la possibilité de s’expliquer. Ce genre de situation, nous en avons une collection à partager éventuellement avec les personnes de bonnes compositions qui veulent régler ce problème d’agressivité.
Malheureusement, jouer avec l’emploi d’un travailleur, c’est le sport préféré de certains employeurs ou de personnes qui se croient investies d’une mission qui vise à virer les gens du chômage, et donc du seul revenu qu’ils ont. Ce n’est vraiment pas une bonne idée dans le monde dans lequel nous vivons de nos jours. Certains individus n’en ont rien à faire de la justice, de la police, de la loi, ni même d’une vie humaine.
Le SECOP-ITSRE met en garde ces gens qui pensent avoir le pouvoir de crier sur les travailleurs, un jour ou l’autre, vous risqueriez de tomber sur un méchant…
Nous venons d’apprendre le décès d’une ancienne militante proactive du SECOP-ITSRE. Toutes nos pensées vont à sa famille et à ses proches. Greta avait rejoint le syndicat dans les premiers jours de sa création. Elle prenait de son temps pour aller distribuer les folders du syndicat dans les carrières en Wallonie Picarde et dans d’autres centres logistiques. Elle avait été désignée comme vice-Présidente du syndicat mais les statuts n’ont jamais repris cette décision car elle a quitté la structure syndicale pour ses propres raisons.
Il y a quelques mois, elle avait décidé de se préoccuper d’avantage d’elle et pour cause, elle avait un autre combat à mener. Un combat qu’elle n’a malheureusement pas gagné.
Repose en paix Greta,
Notre article comportera deux cas distincts. Le premier, c’est celui d’un employeur qui ne veut pas payer le salaire convenu pour différentes raisons. Le deuxième cas sera celui d’un employeur qui ne SAIT plus payer le salaire à ses travailleurs.
Un employeur qui ne veut pas payer le salaire convenu :
Il arrive parfois qu’un employeur ne veut pas payer le salaire à un travailleur. Trop souvent dans le secteur du transport, des employeurs gardent le salaire dû à un travailleur pour une raison X ou Y en guise de dédommagement. Prenons par exemple, un travailleur qui aurait consommé trop de communications téléphoniques avec l’appareil de son employeur.
Que dit la loi en la matière ?
La loi repose sur le principe suivant « Il est INTERDIT à l’employeur de restreindre de quelque manière que ce soit la liberté du travailleur de disposer de sa rémunération à son gré »